Mégabassines or not mégabassines ? Telle est la (difficile) question !

Difficile d’échapper aux évènements qui ont marqué les manifestations sur le chantier d’une mégabassine à Sainte-Soline (Deux-Sèvres) le samedi 29 octobre 2022. Blessés des deux côtés (manifestants et forces de l’ordre), députée malmenée, dégradation matérielle, les médias s’en sont donnés à cœur joie pour relater cette « bataille rangée », confortée par les propos mêmes du Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin qui a qualifié certains des manifestants « d’écoterroristes ».

Cette déclaration a animé pendant des jours bon nombre d’émissions autour de la thématique du militantisme, de la désobéissance civile, laissant trop souvent de côté le fond du dossier. Mais ce qui m’intéresse ici c’est le projet en lui-même. Les mégabassines. Le mot en lui-même fait un peu peur. Vous pouvez d’ailleurs lui préférer le terme de « réserves de substitution » utilisé pudiquement par la COOP 79 (Société coopérative anonyme de l’eau des Deux-Sèvres à l’initiative du projet). Ces constructions pharaoniques répondent-elles à un véritable besoin ? Auront-elles des impacts sur l’environnement ou la biodiversité ? Sont-elles une réponse durable à la crise de l’eau provoquée par le dérèglement climatique ?

Je vous propose d’apporter des éléments de réponses à ces questions, loin de toute prise de position idéologique.

Ce que vous allez apprendre

  • Les projets de mégabassines affirment proposer une gestion de bon sens de l'eau en la prélevant quand elle est abondante (l'hiver) pour l'utiliser quand elle se fait plus rare (l'été).
  • Ce débat autour de ces ouvrages dépassent de loin le cadre strictement local de ces constructions et sont en fait un élément parmi d'autres d'un débat de fond entre une agriculture productiviste et une agriculture raisonnée.
  • Les défenseurs des mégabassines s'appuient sur un rapport du BRGM montrant l'inocuité du projet à bréve échéance.
  • Des solutions alternatives existent mais impliquent un changement de paradigme du modèle agricole.
Arnaud Lardé
Les défis qui sont désormais là, devant nous, et qui ne vont que s’accentuer, ne sont-ils pas l’occasion de changer de modèle et de redimensionner un secteur si vital mais auquel nous ne prêtons plus assez attention ?

Présentation des mégabassines

Il s’agit d’ouvrages destinés au stockage d’eau pour les besoins de l’agriculture. Cette réserve est approvisionnée par un prélèvement d’eau dans les nappes phréatiques durant la saison où l’apport d’eau (précipitations) est le plus important, l’hiver, afin de la mettre à la disposition des agriculteurs durant la saison où les apports sont les plus faibles, l’été. Ceci pour permettre de maintenir certaines cultures tout en diminuant le prélèvement d’eau durant l’été.

Concrètement, il s’agit de bassins creusés d’environ 10 à 15 mètres de profondeur sur une surface moyenne de 8 hectares (environ 10 terrains de football) (la plus grande faisant plus de 18 hectares). Le fond de ces bassins est plastifié afin de le rendre imperméable. Une mégabassine peut alors contenir l’équivalent de 300 piscines olympiques. L’eau est mise à disposition de certains agriculteurs (nous y reviendrons) principalement pour les cultures de maïs ou d’élevages bovins.

Une centaine de projets de ce type existe dans l’Hexagone principalement en Nouvelle-Aquitaine, pays de Loire, Centre, Bretagne.

Nicolas Girod, porte parole de la Confédération paysanne
Nous luttons contre un modèle productiviste, un véritable hold-up sur l’eau au bénéfice d’une minorité !

A la lecture de ces quelques chiffres et informations, il est évidemment légitime de se poser la question de l’impact environnemental (ressources en eau, modification de cours d’eau, de la biodiversité…) de ces constructions et du bénéfice que les agriculteurs peuvent en retirer. N’oublions jamais en effet cette balance bénéfice/risque qui doit (ou devrait !) toujours guider les responsables dans leur prise de décision. Le problème étant que les avantages des uns se font souvent au détriment des autres, même chose pour les risques.

Afin de passer en revue les arguments des deux parties, je vous propose de commencer par un résumé de leur position, représentée par Mme Christiane Lambert, présidente de la FNSEA et soutien des mégabassines et par M. Christian Amblard, directeur honoraire de recherche au CNRS et spécialiste en hydrobiologie, qui s’inquiète des conséquences de leur construction.

Mégabassine en construction
Mégabassine en construction Greenpeace
  • La position de Christiane Lambert, présidente de la FNSEA

    Sur la chaine d’information Franceinfo, le 2 novembre 2022, Mme Lambert voit dans les mégabassines une façon d’aider les agriculteurs face au dérèglement climatique et aux sécheresses qu’il provoque. La première précision qu’elle tient à apporter concerne la gestion de ces mégabassines. Celles-ci s’organiseraient en coopérative donc avec une gestion collective pour les agriculteurs. Mme Lambert rappelle ensuite le principe simple (simpliste selon M Amblard) de leur fonctionnement. Il suffit de prélever l’eau l’hiver quand elle est abondante pour la stocker et l’utiliser l’été, « c’est juste du bon sens ». Une étude du BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières) est également citée. Celle-ci attesterait d’une part de la baisse de prélèvement d’eau l’été par les agriculteurs et un impact négligeable des prélèvements dans les nappes l’hiver.

    En résumé, pas d’impacts négatifs sur l’environnement ou les ressources en eau ; impact positif sur la ressource en eau l’été et maintien des productions agricoles. Cela semble idéal, c’est en tout cas la position de la présidente de la FNSEA.

  • La position de Christian Amblard, spécialiste en hydrobiologie au CNRS

    Invité par la chaine Youtube d’information Blast le 4 novembre 2022 dans une émission d’Antoine Etcheto, le scientifique réagit au projet des mégabassines. Selon lui, ces ouvrages vont provoquer un dérèglement de la répartition saisonnière de l’eau. L’idée de stocker l’hiver et d’utiliser l’été n’est qu’une solution à court terme. Il considère cette solution comme une « fuite en avant d’un modèle d’agriculture ». D’autres arguments sont apportés : Tout d’abord, ce prélèvement dans des nappes phréatiques expose à l’ensoleillement une eau saine au départ. L’ensoleillement, par l’augmentation de la température de l’eau qu’il engendre, va provoquer le développement de microorganismes comme les cyanobactéries (responsables d’intoxication provoquant diarrhées, vomissements, problèmes cutanés). Cette eau serait ainsi rendue inutilisable. L’ARS (Agence Régionale de Santé) a d’ailleurs émis un avis défavorable à ces projets en 2016 lié au risque de pollution lié à la modification des pratiques culturales et au risque de rupture d’une couche géologique d’étanchéité. De plus, l’exposition au soleil provoquera inévitablement une perte substantielle par évaporation de l’eau. Une étude sur les grands lacs canadiens a montré que la perte d’eau par évaporation peut représenter en un été, de 20 à 60% du volume initial, accentuant finalement la perte de la ressource selon le raisonnement de M Amblard.

    Dernier élément évoqué, en écho de la gestion collective évoquée par Mme Lambert, ces projets représenteraient pour l’hydrobiologiste, une privatisation de la ressource en eau au bénéfice de quelques-uns, l’utilisation de l’eau stockée n’étant possible que par les agriculteurs équipés d’un système d’irrigation. Pour terminer son explication, M Amblard propose des solutions pour se passer de ces mégabassines. Nous en reparlerons un peu plus tard.

    En résumé, selon ce chercheur, ces projets auraient un impact négatif au niveau de la durabilité de la ressource en eau, au niveau de la qualité de l’eau et serait moralement discutable car inégalitaire.

Comment se faire une opinion la plus factuelle possible face à ces positions aussi opposées ? Je vous propose une analyse des différents arguments et idées abordés dans ces deux interventions.

Sainte Soline, retour sur une séquence écoterroriste

Émission du site d'information Blast revenant sur le dossier des mégabassines

Regarder la vidéo sur YouTube

Une gestion collective façon coopérative ou la privatisation d’une ressource naturelle ?

La construction de ces mégabassines est très coûteuse, c’est indiscutable. Chaque projet nécessite plusieurs dizaines de millions d’euros et peuvent être financés à hauteur de 70% par des fonds publics. La question du bénéfice de ces structures se pose donc puisque non seulement nous parlons d’une ressource naturelle, mais aussi parce que de l’argent publique est investi. Alors, à qui profite ces réserves d’eau ? Dans les Deux-Sèvres par exemple, 5000 agriculteurs sont recensés. Parmi eux, seuls 5% sont concernés puisque seules les exploitations irrigantes (qui ont une autorisation de prélever de l’eau à partir de points définis) pourront l’utiliser. Et parmi ces 5% seuls 220 exploitations se sont engagées dans le projet. Ainsi, il est clair que ce stockage d’eau à grande échelle ne profitera pas à un grand nombre d’agriculteurs.

Arnaud Lardé
Ces projets ne sont-ils pas une énième réponse, une fuite en avant, pour aider un modèle d’agriculture qui ne correspond peut-être plus aux conditions environnementales actuelles et futures ainsi qu’aux demandes des consommateurs ?

Autre problème que nous pouvons soulever : la liste des bénéficiaires de cette eau (pour le projet des Deux-Sèvres par exemple) n’est pas publique ce qui ne contribue pas à la transparence. Numériquement, on le voit, ce stockage ne concerne pas beaucoup d’agriculteurs. Mais qualitativement ? A quel type d’exploitation est-il destiné ? Les bénéficiaires sont les grandes exploitations céréalières (blé, orge et surtout maïs) dont la production est majoritairement destinée à l’exportation ou aux éleveurs de vaches à lait en stabulation. Ainsi, l’un des principaux reproches réside sur le fait que ces projets sont perçus par la population dont des agriculteurs, comme étant une privatisation d’une ressource naturelle au profit des exploitations les plus puissantes. Cela explique que la confédération paysanne (syndicat qui milite « pour une agriculture paysanne, respectueuse de l’environnement, de l’emploi agricole et de la qualité des produits ») s’oppose farouchement à ces mégabassines.

Mégabassine de Sainte-Soline, souveraineté agricole, inflation, titres de séjour, métier en tension... ce qu'il faut retenir de l'interview de Christiane Lambert

Émission de FranceTVInfo contenant l'interview de C Lambert, présidente de la FNSEA

Regarder la vidéo sur DailyMotion

Que dit l’étude du BRGM citée par Mme Lambert concernant l’impact d’une mégabassine sur l’environnement ?

Le BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières) est un établissement public de référence pour gérer les ressources et les risques du sol et du sous-sol. L’étude mentionnée (et disponible ici) a été publiée le 17 juin 2022 et s’intitule « Simulation du projet 2021 de réserves de substitution de la Coopérative de l’eau des Deux Sèvres ». On constate qu’il ne s’agit pas d’une étude d’impact mais d’une simulation c’est-à-dire d’un « modèle hydrologique de gestion » qui peut être utilisé pour « estimer l’impact des projets de retenues de substitution sur les niveaux des nappes et des cours d’eau ». On pourrait donc objecter à l’utilisation de ce rapport, toute aussi puissante que soit sa modélisation, qu’il pourrait y avoir une distorsion entre ses conclusions et la réalité. Néanmoins, voici les éléments clés donnés dans les conclusions de ce rapport :

  • La simulation de la réserve de substitution prévoit une amélioration sensible des débits des cours d’eau à l’étiage (période du débit minimal d’un cours d’eau, le plus souvent l’été) due à de moindres prélèvements : augmentation de 6% du débit entrant dans le marais poitevin. En hiver, les prélèvements ne sont pas sans effet sur le milieu même s’il s’agit de la période où nappes et rivières sont les moins vulnérables : baisse de 5 à 10% de la nappe phréatique qui se traduirait par une baisse de 1 % du débit entrant dans le marais poitevin ce qui est qualifié de « faible à négligeable » par le BRGM.

  • La simulation indique qu’il n’y a pas d’influence négative du prélèvement sur les différents milieux voire une amélioration des conditions de développement de biodiversité. On peut regretter que le mot « évaporation » ne soit absolument pas évoqué puisque c’est un facteur important dans le suivi des volumes d’eau.

  • Le rapport précise aussi la nécessité de l’utilisation d’indicateurs qui permettraient de mesurer les niveaux des nappes phréatiques concernées et ainsi d’autoriser ou non le captage. (Dispositif contesté par les opposants signe d’une vraie défiance face à l’Etat.)

Des milliers de personnes se sont réunies à Sainte-Soline pour protester contre la construction d’une mégabassine.
Des milliers de personnes se sont réunies à Sainte-Soline pour protester contre la construction d’une mégabassine. Pascal Lachenaud / AFP

Qu’en est-il de la pérennité de ce mode de fonctionnement ?

M Amblard considère que ces projets ne sont pas viables à long terme. Il craint en effet que le problème de la quantité d’eau disponible n’en soit que plus accentué. Ils provoqueraient notamment un assèchement progressif des sols. Il regrette aussi que l’évaporation ne soit pas un paramètre pris en compte dans les simulations comme nous l’avons vu plus haut. La question de l’utilisation de cette eau l’interroge aussi puisque cette ressource ne concerne qu’un certain type d’exploitation pour un certain type d’agriculture (il s’agit donc d’un conflit de vision dont nous reparlerons). Une autre réserve évoquée illustre également la défiance contre l’Etat.

arnaud Lardé
Les défis qui sont désormais là, devant nous, et qui ne vont que s’accentuer, ne sont-ils pas l’occasion de changer de modèle et de redimensionner un secteur si vital mais auquel nous ne prêtons plus assez attention ?

Il existe plusieurs types de nappes phréatiques en fonction notamment de leur profondeur et donc de leur mode d’approvisionnement. Les nappes de faibles profondeurs sont les nappes visées par les prélèvements pour les mégabassines. Ces nappes sont approvisionnées rapidement par les précipitations. Les nappes profondes dites « nappes captives » mettent en revanche des siècles à se remplir. Ces nappes ne sont pas ciblées par les mégabassines mais l’hydrobiologiste craint que ça ne soit qu’une question de temps avant que les prélèvements passent à ce type de nappes. Les simulations du BRGM prévoient d’ailleurs qu’une à deux fois tous les dix ans, le prélèvement ne pourra pas se faire en raison de la sécheresse.

La pérennité de ces projets se pose aussi en termes de nombre de ces mégabassines. Les projets se multiplient et plus de 1000 sont à l’étude.

Christian Amblart, hydrobiologiste
Cette solution est une fuite en avant d’un modèle d’agriculture.

Y-a-t‘il des alternatives à ces mastodontes face au dérèglement climatique ?

Il s’agit d’une question importante car l’opinion que l’ont peut se faire sur ces constructions peut aussi dépendre des alternatives qui pourraient exister. Et elles existent selon M Amblard. Il s’agit d’un profond changement de politique d’aménagement du territoire. Il faudrait lutter contre le ruissellement et favoriser l’infiltration de l’eau dans les sols. Pour cela, le développement de zones humides, véritables éponges, jouerait le rôle de stockage naturel ; les sols nus en hiver sont par conséquent à proscrire. Le développement de zones arborées, la replantation de haies sont aussi primordiales. Toutes ces mesures sont incluses dans ce qu’on appelle l’agroforesterie, modèle différent d’agriculture. Une note de l’INRAE en octobre 2022 l’explique : « la diversité végétale est une solution agroécologique pour la protection des cultures ». Enfin, évidemment, le choix des cultures doit se faire selon le climat actuel et à prévoir selon les régions. Est-il toujours pertinent de cultiver du maïs dans le Sud-Ouest ?

Couverture du rapport du BRGM sur la modélisation des conséquences des réserves de substitution
Couverture du rapport du BRGM sur la modélisation des conséquences des réserves de substitution BRGM

Un véritable hold-up sur l’eau

Au terme de cette réflexion, le sentiment qui prédomine et que ces projets de mégabassines cristallisent le conflit, le fossé, la rupture appelez-le comme vous le souhaitez, entre la vision d’une agriculture à grande échelle (pour ne pas intensive) qui considère que ce n’est qu’ainsi que l’agriculture pourra répondre au défi de nourrir une population toujours plus nombreuse (quid de la production pour l’élevage dont le GIEC même appelle à diminuer l’échelle ?) et une agriculture à taille plus humaine, locale et plus en accord avec l’environnement (plus utopique diront certains). Porte-parole de la Confédération Paysanne, Nicolas Girod explique : « Nous luttons contre un modèle productiviste, un véritable hold-up sur l’eau au bénéfice d’une minorité ». Ces projets représenteraient une menace sur une eau potable déjà largement contaminée. Enfin, de nombreux experts considèrent que l’accès à ces mégabassines devraient impliquer l’adhésion à une liste d’engagements qui s’imposerait aux agriculteurs : diminution de l’utilisation de produits phytosanitaires, encouragement ou obligation à la conversion au biologique ou à des pratiques à Hautes Qualités Environnementales (HVE).

Christiane Lambert, présidente FNSEA
Il suffit de prélever l’eau l’hiver quand elle est abondante pour la stocker et l’utiliser l’été : c’est juste du bon sens

D’un premier abord simple voire simpliste, la question de la pertinence des mégabassines en réponse à l’augmentation de la pression hydrique liée au dérèglement climatique est en réalité plus complexe. Les effets à court terme sont annoncés comme positif pour les exploitations agricoles et sans impact sur le milieu naturel. Qu’en est-il à plus long terme ? Ces projets ne sont-ils pas une énième réponse, une fuite en avant, pour aider un modèle d’agriculture qui ne correspond peut-être plus aux conditions environnementales actuelles et futures ainsi qu’aux demandes des consommateurs ? (Dont on pourrait regretter parfois une sorte de schizophrénie entre une exigence légitime de qualité des produits et pratiques agricoles et des prix toujours plus tirés vers le bas).

Pour conclure

Les défis qui sont désormais là, devant nous, et qui ne vont que s’accentuer, ne sont-ils pas l’occasion de changer de modèle et de redimensionner un secteur si vital mais auquel nous ne prêtons plus assez attention ? Nous considérons comme acquis le fait de remplir notre assiette avec des produits peu chers, à n’importe quel moment de l’année. Nos agriculteurs ont besoin de notre soutien pour les aider à redonner du sens à leur mission, quitte à écarter une fois pour toute ceux qui n’y voient qu’une opportunité de spéculer au détriment de tous, nature comprise.

Portrait de l'auteur

Et vous, êtes vous prêt à des sacrifices afin de consacrer une part plus importante de votre budget au volet alimentaire ? Quel modèle d'agriculture souhaitez-vous pour demain ?

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Portrait de l'auteur

Arnaud Lardé

Professeur agrégé en SVT

Professeur agrégé en Sciences de la Vie et de la Terre au Lycée Thibaut de Champagne à Provins depuis 2006.

Pur produit de la faculté des Sciences de Marseille, il tient sa vocation de sa passion pour la nature en général et la zoologie en particulier. Il transmet également sa passion en Anglais puisqu’il est responsable d’une section européenne.

Il participe également régulièrement la revue Espèces par la rédaction d’articles scientifiques de vulgarisation.

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