Les chats : un problème pour la biodiversité autant que pour le réchauffement climatique

Quand il s’agit de changement de mentalité et de réflexion globale sur notre impact environnemental, tous les sujets ne peuvent pas être abordés de la même manière. Le chat domestique et ce qu’il représente de problèmes pour la biodiversité autant que pour le réchauffement climatique en fait complètement partie.

A la croisée de l’animal typiquement domestique et de la bestiole sauvageonne, le chat se retrouve dans un positionnement d’autant plus tangent qu’il s’agit désormais de le gérer. Car oui, nous nous devons d’assumer le chat domestique.

Comment pourrions-nous être légitimes à mettre en place des plans de gestion pour tant d’espèces sauvages et ne pas le faire pour un animal domestique qui s’invite dans les milieux sauvages ?

Ce que vous allez apprendre

  • Que les chats ont un impact incroyable sur la biodiversité
  • Que l'humanité est intimement liée à cet animal
  • Que les chats produisent indirectement une grande quantité de gaz à effet de serre
  • Qu'il existe déjà des moyens de limiter l'impact des chats
  • Qu'il est désormais important de réfléchir à la place à donner aux chats
Julien Hoffmann
Tous les végans et végétariens réunis n'économisent pas la viande que les seuls chats consomment !

13,5 millions de chats consommateurs

Évolution des populations canines et félines en France depuis l'an 2000
Évolution des populations canines et félines en France depuis l'an 2000 FACCO

De pâté en croquettes, les chats français consomment des centaines de milliers de tonnes de viandes, de poissons, de céréales, de légumineuses et autres produits agroalimentaires. Certes, l’argument que ces produits ne pourraient être valorisés autrement qu’en les transformant en nourriture pour nos petits félins se tient en partie…

Mais ne soyons pas naïfs, les lois du marché étant, rien ne se perd, tout se transforme. Et si ce n’est pas pour les chats, ces produits serviraient très certainement à autre chose sur un marché de l’alimentation des animaux de compagnie qui accuse une balance commerciale excédentaire de 467 millions d’euros.

Aux USA en 2018, la nourriture pour chats représentait plus de 2 milliards de dollars
Aux USA en 2018, la nourriture pour chats représentait plus de 2 milliards de dollars Pet Food Processing

Les chiffres de cette industrie sont, au final, relativement flous et ne permettent pas de savoir avec justesse quelle est, par exemple, la part de surfaces agricoles françaises mobilisées pour nourrir nos chats. Il n’y a pas plus de moyens d’extrapoler sur la quantité de produits phytosanitaires utilisés pour se faire. Ni sur les volumes d’eau consommés ou encore sur les quantités de CO2 émises pour boucler une chaîne de production qui doit nourrir plus de 13,5 millions de boules de poils.

Julien Hoffmann
On estime ainsi que les seuls chats errants à travers le monde sont responsables, sur les 500 dernières années, de la disparition de 63 espèces de mammifères, de reptiles et d’oiseaux.

Impact du chat domestique sur la biodiversité

Les petits rongeurs font parti du régime de chasse de nos félins comme bien d'autres petits animaux.
Les petits rongeurs font parti du régime de chasse de nos félins comme bien d'autres petits animaux.

Le chat, sauf à être sauvage, ne fait pas parti à part entière de nos écosystèmes mais, comme nous, les impacte négativement. Sur les 13,5 millions de chats que compte notre territoire, environ 68%, soit plus de 9 millions, auraient accès à l’extérieur, devenant par la même de petits tueurs potentiels.

Qui ne s’est pas gentiment moqué d’un jeune chat mettant toute son énergie à attaquer une feuille morte ? Qui ne s’est jamais étonné de voir un de ces félins bondir avec autant d’adresse pour attraper un petit animal que personne à part lui n’avait remarqué ?

C’est là tout le problème… S’il n’est pas si évident que de dire que le chat est domestiqué tant il peut être indépendant (jusqu’à volontairement ne pas réagir quand on l’appelle), il n’en reste pas moins que pour l’immense majorité de sa population, il est dépendant de la nourriture qu’on lui fournit. Et pourtant cela ne l’empêche pas de « chasser » d’instinct et de tuer dans la foulée.

Rongeurs en tous genres, mêmes protégés, batraciens mais aussi lézards et orvets, oiseaux, papillons ou encore serpents, rien n’échappe réellement aux dents des chats et c’est là tout le problème. Car le chat lui, ne nourrit personne sauf quelques anecdotiques chatons qui ont servi de dîner à de jeunes lynx dans le Jura.

On estime ainsi que les seuls chats errants à travers le monde sont responsables, sur les 500 dernières années, de la disparition de 63 espèces de mammifères, de reptiles et d’oiseaux.

Quid de ce que les 600 millions de chats domestiques à travers le monde ont fait pour apporter leur pierre à cette funèbre entreprise ? On en a une petite idée grâce à la retentissante étude de 2012 aux États-Unis qui estime entre 1,4 et 3,7 milliards le nombre d’oiseaux tués chaque année par les chats domestiques et de 6,9 à 20,7 milliards le nombre de petits mammifères qui subissent le même sort. Pas étonnant que le chat soit classé parmi les 100 espèces les plus envahissantes du monde !

Les oiseaux sont des proies très amusantes pour les chats.
Les oiseaux sont des proies très amusantes pour les chats. Ivan Radic

La moyenne basse du nombre de proies par semaine d’un chat domestique est estimée à 2,1 (soit 113,4 proies par an), alors qu’une éolienne tuerait 18,3 oiseaux au maximum par an. S’il est légitime, normal et important de travailler sur l’impact des éoliennes sur les populations aviaires, pourquoi, à la lumière de ces chiffres incroyables, devrions-nous continuer à ne rien faire ou presque quant aux chats ?

Le pire dans tout cela est qu’ils ne chassent même pas réellement parmi les seuls animaux que nous aurions besoin qu’ils régulent, à savoir les rats… Il a en effet été démontré que si on a l’impression qu’il y a moins de rats quand il y a des chats en milieu urbain, c’est bien parce que les rats changent de comportement mais non pas parce qu’ils sont moins nombreux. Les chats préfèrent s’attaquer à des proies moins grosses et moins dangereuses…

Les chats en Australie

Quelques échanges avec David Bock, de l’Australian Museum de Sydney, nous ont permis de constater l’ampleur des dégâts dans leur pays…

Le taux de prédation des chats sur une île est plus élevé du fait de la topologie du terrain, même si le phénomène est difficile à quantifier. Quoi qu’il en soit, une compilation de 93 études sur le sujet a démontré, en 2017, que l’impact des chats sur les seuls oiseaux australiens était tout bonnement invraisemblable :

  • 316 millions d’oiseaux tués par les chats errants chaque année

  • 61 millions d’oiseaux tués chaque année par les chats domestiques

  • 338 espèces différentes d’oiseaux touchés dont 71 espèces en danger

De manière générale, les chats australiens tuent environ 1,5 milliards de petits animaux et pas moins de 650 millions de reptiles… Une paille. Mais le pays se mobilise de plusieurs façons, à la fois par des campagnes de sensibilisation et des outils concrets pour limiter l’impact des chats.

Julien Hoffmann
Nos petits félins produisent à eux-seuls 400000 tonnes de déchets qui se retrouvent dans nos poubelles. Le coût carbone du ramassage et du traitement de ces déchets n’est de loin pas négligeable.

Végans VS Minous : Minous 1 — Végans 0,64

Les chats mangent de l'herbe de temps à autre mais ne sont pas végétariens !
Les chats mangent de l'herbe de temps à autre mais ne sont pas végétariens ! LisaSympson

Le mouvement végan et végétarien monte en puissance depuis une petite décennie avec, notamment mais pas exclusivement, l’argument du réchauffement climatique et de la rationalisation de l’utilisation de nos ressources.

Selon Xerfi cité par le Figaro (ce sont les chiffres qui nous semblent les plus crédibles), les végétariens représenteraient 2% de la population et les végans 0.5%, soit un total de 1 640 000 français.

Ce mouvement est assez cohérent et puissant pour que la démarche de végétarisme s’invite jusque dans les cantines scolaires, pour ne parler que de cela. Invitant par la même dans l’espace public les questions de bien-être animal, d’utilisation des terres agricoles, de production animale, de réchauffement climatique et bien d’autres encore qu’il est bien temps d’aborder de front.

Les chats consommeraient 4% de ce que consomme un humain en calories journalières. Sur la base de l’apport calorique du boeuf, un chat consommerait donc 37,88 grammes de viande par jour et donc 13 826,2 grammes par an. Ramené à la population totale de chats en France, à savoir 13,5 millions (sans compter donc les chats harets : qui sont retournés à l’état sauvage) cela ferait une consommation totale de 186 654 tonnes de viande par an (à mettre en perspective avec la proportion d’aliments d’origine non animale dans l’alimentation du commerce).

Effet de serre selon l'alimentation
Effet de serre selon l'alimentation L214

Les 1 640 000 français végans ou végétariens éviteraient quant à eux la consommation, sur la même base de 46 grammes, de 27 536 tonnes de viande soit plus ou moins 64% (d’où le titre de ce paragraphe) de ce que consomment les seuls chats.

Tous les végans et végétariens réunis n’économisent pas la viande que les seuls chats consomment !

Rajoutez la consommation des chiens et de tous les Nouveaux Animaux de Compagnie (NAC) et il faudra plusieurs décennies avant que le mouvement végan et végétarien croisse éventuellement assez pour seulement nous amener à l’équilibre…

Mais alors pourquoi diable parlons-nous si peu de l’impact de nos chats ? Nous ne le répéterons jamais assez : si vous souhaitez vivre avec des animaux de compagnie, il est préférable d’adopter deux lapins ou un animal herbivore !

Pourquoi les chats ne sont pas écolos ?

Le professeur feuillage et son acolyte dans toute leur splendeur…

Regarder la vidéo sur YouTube

Impact du chat domestique sur le réchauffement climatique

Hormis la consommation de viande et ce que cela induit d’émission de gaz à effet de serre, il faudrait également prendre en compte la consommation de céréales, de sucres, de conservateurs, de produits de la pêche et on en passe !

Haaa les croquettes de minou…
Haaa les croquettes de minou… Isabelle Blanchemain

Nous allons passer sur l’exercice pour que l’article ait une fin d’autant que, tout comme pour l’utilisation de sous-produits d’origine animale, la nourriture pour chats se fournit pour partie en sous-produits en tous genres. Le calcul du CO2 émit devrait alors prendre en considération ce que deviendraient tous ces sous-produits dans le cas où ils ne serviraient plus à nos matous, ce qui complexifie un poil trop les choses pour nous.

On peut cependant imaginer l’ampleur de la chose à travers une étude de l’université de Californie qui estime les émissions de gaz carbonique dues à l’alimentation des 163 millions de chats et chiens américain à 64 millions de tonnes, soit l’équivalent de 13,6 millions de voitures…

Quoi qu’il en soit, à l’alimentation il faut rajouter la production de déchets : à savoir les fèces et la litière. Avec environ 30 kilogrammes par an et par chat, nos petits félins produisent à eux-seuls 400 000 tonnes de déchets qui se retrouvent dans nos poubelles. Le coût carbone du ramassage et du traitement de ces déchets n’est de loin pas négligeable.

W.L. George
Les chats savent comment obtenir de la nourriture sans travail, un abri sans incarcération et l’amour sans pénalités.

Pourquoi donc avons-nous des œillères ?

Rhooo qu'il est miiiiggnoon !
Rhooo qu'il est miiiiggnoon ! dorinser

Un chat dans un foyer, c’est un tout petit peu de comportement animal à portée d’yeux et de main. L’indépendance inhérente à cette espèce est d’autant plus enrichissante pour les enfants qui ne cessent de découvrir qu’un chat a son propre mode de fonctionnement, ses propres envies, ses rythmes et ses besoins comme pourrait l’avoir un animal sauvage.

Mais un chat c’est aussi une présence souvent rassurante autant par sa constance que par ses petites attentions… Un miaulement de bien venue quand on rentre chez soi, un « ronron » qui détend alors qu’on est en train de bouquiner, des bonds dans tous sens quand on a eu la gentillesse de lancer à travers la pièce un bouchon de bouteille accroché à un lacet, un frottement de contentement quand on le caresse pensivement en repensant à la journée chaotique que l’on vient de passer…

Et même si le chat est d’une indépendance aussi fascinante qu’agaçante face à nous, il est aussi capable de s’attacher à nous à la manière d’un bébé, il a conquis le monde grâce à nous, il nous aide à nous déstresser et tellement d’autres choses.

Voilà des millénaires qu’Homme et chats se côtoient, parfois intimement, au point que ces derniers nous aident même désormais à nous soigner. Mais nos rapports n’ont pas toujours été au beau fixe, ils ont changé et évolué au fil du temps et c’est là le propre d’une relation qui dure. Si nous ne voulons pas qu’avoir des chats à nos côtés ne devienne écologiquement insoutenable, il nous faut désormais nous poser toutes les questions sur le sujet et aller rapidement de l’avant.

Projet de recherche

Le projet de recherche « Chat domestique et biodiversité » est un portail de collecte de données sur le régime alimentaire du Chat domestique qui vise à investir le grand public dans une définition collective de la place du Chat dans l’écosystème, et de son régime alimentaire.

Tout un chacun peut donc participer et aider à rattraper le retard colossal de la France en matière d’informations sur le sujet !

Gérer les chats errants

Roux comme l'automne, ce chat n'est pourtant pas à sa place…
Roux comme l'automne, ce chat n'est pourtant pas à sa place…

Il n’existe pas de chiffres quant aux populations de chats errants en France. C’est peut-être là la première problématique à prendre en compte quand on parle d’impact des chats domestiques sur la biodiversité.

Si le gouvernement australien, qui a déjà dû faire face à plusieurs types de pullulations (notamment de lapins), va certainement faire abattre 2 millions de chats errants, doit-on attendre d’en arriver à la même extrémité parce que l’on ne veut pas prendre le problème à bras le corps ? Non, bien sûr.

Chaque propriétaire de chat doit être sensible et sensibilisé au fait qu’il a une responsabilité par rapport à cela. La stérilisation de son chat ou de sa chatte est essentielle sauf à assumer totalement les portées à venir ce qui nécessite de savoir exactement où traine son chat !

Dans le cas d’un ban communal où de trop nombreux chats errants évoluent et pour le maintien de la biodiversité environnante, il s’agit également d’agir. Aucun écosystème ne peut assumer une présence trop forte de chats errants et les nourrir n’évitera pas les dégâts qu’ils causeront alentours. Le comportement de chasse est instinctif chez les chats et ne relève pas de l’appétence. Ce qui revient à dire que bien les nourrir en croquettes les aidera à mieux chasser… pour rien.

Leur mise en fourrière pour qu’ils trouvent un nouveau foyer est la seule solution qui soit à la fois durable pour la petite faune et pour le bien-être de ces chats, c’est d’ailleurs en partie pour cela que le Code Rural a été renforcé en ce sens, donnant par la même des outils concrets d’action notamment aux maires.

Julien Hoffmann
S’il est légitime, normal et important de travailler sur l’impact des éoliennes sur les populations aviaires, pourquoi, à la lumière de ces chiffres incroyables, devrions-nous continuer à ne rien faire ou presque quant aux chats ?

Assumer son chat

Il est plus facile de nourrir de mignonnes bestioles que de les empêcher de nuire à des centaines d'autres… Quel paradoxe !
Il est plus facile de nourrir de mignonnes bestioles que de les empêcher de nuire à des centaines d'autres… Quel paradoxe ! Isabelle Blanchemain

Un chat, une fois sorti de chez son propriétaire, est un tueur qui a pour objectif de se reproduire, c’est ainsi et c’est là la nature même de ces animaux.

Il faut entendre que, contrairement à tous prédateurs sauvages, les chats domestiques sont nourris, logés et soignés par leurs propriétaires ce qui les dédouane totalement des principes de base de fonctionnement d’un écosystème : leur densité n’est pas fonction de la disponibilité en nourriture. L’équilibre est de fait impossible, donnant une prédominance aux chats qui pèse alors lourd.

Limiter au maximum sa capacité de nuisance à la biodiversité relève de la responsabilité morale de son seul propriétaire. Pour cela les solutions sont nombreuses :

  • Ne pas le laisser sortir la nuit lorsqu’il chasse énormément et pour éviter qu’il impacte la faune nocturne comme les fragiles chauves-souris.

  • Le stériliser pour qu’il ne se reproduise pas sans maîtrise.

  • Lui mettre une clochette pour que ce soit plus compliquer pour lui d’attraper des oiseaux.

  • Installer des systèmes spécifiques sur les troncs d’arbres pour qu’il n’y monte pas.

  • Grillager vos murs en pierres sèches pour y sauvegarder l’herpétofaune.

L’arrêt de l’utilisation de litière chimique est une base, on a d’ailleurs aussi du mal à comprendre qu’il n’y ait pas d’interdiction pure et simple de ce genre de produits, tout en portant une attention particulière à la provenance des matières utilisées pour la fabrication des litières naturelles et compostable. Ce sera d’ailleurs le moment de faire votre propre compost pour éviter le transport de ces déchets !

Prévoir de basculer sur de la nourriture alternative et notamment celle à base d’insectes qui commence à bien se développer et qui a une filière de production bien moins polluante en matière d’émission de gaz à effet de serre.

Et un jour, quand son chat meurt de vieillesse et après une vie bien remplie de câlins, peut-être faudra-t-il se poser la question d’en « reprendre un » ou non ?

Pour conclure

42% des foyers français possèdent un chat ou un chien et pourtant, la question de la part des émissions de CO2 dévolue au nourrissage de ces animaux n’est pas plus posée que leur impact sur la biodiversité.

Ne serait-il pas temps ? Serions-nous plus enclins à réfléchir notre propre alimentation que celle de nos animaux de « compagnie » ? Avons-nous le temps de nous permettre ce laxisme ?

À l’heure de l’urgence climatique qui n’est de loin pas un vain mot et qui représente un réel péril pour notre civilisation toute entière (pour preuve le dernier rapport du GIEC sur la montée de océans), nous devons assumer que si certains « éco-gestes » semblent dérisoires en comparaison de la responsabilité des décideurs, d'autres gestes tels que le non-compostage des déchets organiques ou le choix d'avoir un prédateur de compagnie sont lourds de conséquences et directement de la responsabilité des individus.

Sauf à se mettre des œillères et rejeter la faute sur autrui, il n‘y a aucun doute sur le fait qu’il faille faire quelque chose pour limiter l’impact de nos chats domestiques autant que celui des chats harets sur notre environnement. Mais quoi et comment ?

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Portrait de l'auteur

Julien Hoffmann

Rédacteur en chef — DEFI-Écologique

Fasciné depuis 20 ans par la faune sauvage d'ici ou d'ailleurs et ayant fait son métier de la sauvegarde de celle-ci jusqu'à créer DEFI-Écologique, il a également travaillé à des programmes de réintroduction et à la valorisation de la biodiversité en milieu agricole.

Il a fondé DEFI-Écologique avec la conviction qu'il faut faire de la protection de l'environnement un secteur économique pour pouvoir réellement peser sur les politiques publiques.

 Julien est membre de DEFI-Écologique.

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